Harcèlement et violences dans l’armée : dix militaires, dont un lieutenant-colonel, au tribunal (Le Parisien)

Dans la présente affaire, l’avocate du lieutenant-colonel estime que « la relaxe est la seule décision qui pourra être prise, tant juridiquement que factuellement ». Me Margaux Durand-Poincloux pointe que son client n’était alors pas en charge de l’organisation de la journée de cohésion, n’ayant été nommé qu’un an après chef d’escadron.