L’inquiétante invention du recel d’un abus de la liberté d’expression (AJ Pénal, Dalloz)

Par un arrêt du 7 janvier 2020, la Chambre criminelle de la Cour de cassation admet pour la première fois la condamnation d’une personne pour avoir seulement détenu des informations dont l’expression constitue un abus de la liberté d’expression. ABPA évoquait dans la revue AJ Pénal, éditée par les éditions Dalloz, les difficultés constitutionnelles majeures soulevées par cette décision.